Maurine attachée, une jolie histoire érotique

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il y a 6 ans

La table de chêne semblait provenir d'un autre temps. Rugueuse, parcourue de stries disparates et parsemée de trous témoins du passage de colonies de termites, elle dénotait tout à fait au milieu des meubles modernes de l'appartement. De hautes chaises aux accoudoirs de bois travaillés et au dossier recouvert de velours rouge l'encadraient et complétaient ce tableau baroque. Manifestement, ils ne faisaient pas partie du décor habituel de l'appartement. Une large porte fenêtre laissait passer la lumière déclinante de cette fin d'après-midi sur Paris. D'où j'étais, j'en apercevais que quelques toitures de zinc surplombant les immeubles mitoyens.

Les bruits de la rue ne me parvenaient que de manière sporadique, étouffés qu'ils étaient par l'isolation phonique. J'étais allongée sur cette table depuis un bon moment. Je ne saurais aujourd'hui dire depuis combien de temps. Suffisamment en tout cas pour avoir eu le temps de détailler avec précision ce vaste salon rempli de livres. Mes poignets étaient attachés aux pieds de la table par de longs foulards de soie rouge.

En inclinant ma tête vers la gauche, je pouvais apercevoir l'embrasure de la porte à moitié fermée. D'une pièce lointaine parvenaient jusqu'à moi des voix familières. Celles de Véronique et Fabien. Il ne servait à rien que je les appelle, ils ne viendraient pas. Pas maintenant. Plus tard. Pour le moment, ils étaient occupés à faire l'amour. Les bruits que j'entendais ne me laissaient aucun doute la dessus. La voix chevrotante de Véronique quémandant un effort supplémentaire à Fabien et les ahanements de ce dernier me permettaient d'imaginer la scène comme si je l'avais eu devant les yeux : Véronique à quatre patte sur l'épaisse moquette de la chambre et Fabien à genoux entre ses jambes la besognant avec délice.

Cette pensée me stimula. J'eu du plaisir à entendre Véronique prendre le sien. Pour ma part, il me fallait patienter. Mon chemisier blanc laissait transparaître mes seins aux tétons déjà dressés. Une petite jupe noire recouvrait mon sexe épilé. Des bas noirs habillaient mes jambes terminés par des escarpins de cuir gris foncés. Les cris de Véronique et Fabien me firent raidir les muscles des jambes. Je les levais pour mettre en appui les escarpins sur le plateau de la table et écartais mes cuisses. Je sentais la moiteur m'envahir. Comme j'aurai voulu pouvoir me caresser.

Les bruits cessèrent bientôt et le calme s'installa de nouveau dans l'appartement. La porte fut poussée et Véronique apparut dans la pièce. Presque nue, essoufflée, en sueur, les cheveux collés sur les tempes, elle s'approchait de moi perchée sur des chaussures à hauts talons. Elle me souriait. Arrivant à la table, elle s'assit sur la chaise près de ma tête. Se penchant vers moi, elle contempla mon corps, se pencha vers moi et m'embrassa fiévreusement. Sa langue s'enroula sur la mienne.

Elle se détacha de moi et basculant en arrière, elle s'adressa à moi : -" Fabien est un bon coup. Tu vas apprécier de faire sa connaissance, Maurine. " Elle ramassa entre ses doigts un peu de sperme qui coulait entre ses seins et le porta sur ses lèvres. Elle m'embrassa à nouveau, m'enduisant la bouche et la langue de la semence de Fabien. Sa main droite glissa sur ma poitrine, titilla mes tétons et fila entre mes jambes ouvertes. Elle caressa mon sexe et l'intérieur de mes cuisses.

  • " Pourquoi ne me détaches-tu pas Véronique!?, " Elle rit. -" Ne t'inquiète pas, tu vas adorer. " Fabien survint sur ces entre faits. Nu, le sexe repu et luisant de foutre, il s'approcha de Véronique et me regarda. Il l'embrassa.

-" Alors Maurine, pas trouvé le temps trop long ? " me questionna-t-il.

-" Non, ça va. "

Fabien fit le tour de la table en laissant traîner ses mains sur mon corps. Il finit par s'asseoir sur la chaise du bout de la table. Il regardait mon entre cuisse.

-"Hum, Maurine nous a entendu pendant que nous baisions, Véro. Son petit sexe est tout humide. "

-" La pauvre. " fit mine de s a n g loter Véronique. " Il faut la consoler. "

Fabien mit ses mains sur mes chevilles, les emprisonna et m'attira à lui en me faisant glisser sur la table. Il rapprocha sa chaise de la table. Mes fesses étaient au bord du plateau. Il prit mes mollets et les posa sur le haut du dossier de la chaise. Il caressa l'intérieur de mes cuisses et retroussa la jupe sur mon ventre. Véronique ne bougeait pas. Je mouillais de voir cet homme que je ne connaissais pas assis entre mes jambes ouvertes et regardant tel un gynécologue mon sexe offert. Il plongea sa tête entre mes cuisses. Je sentais sa langue parcourir mes lèvres et mon clitoris. Je fermais les yeux, savourant ce moment intense. Ma poitrine se soulevait, mon cœur s'emballait. Il suçait mon sexe avec délicatesse, jouant avec mes plis intimes. Je perçus d'abord le bruit de l'arrachement de mon chemisier. J'ouvris les yeux pour voir Véronique qui tenait les pans de tissus dans ses mains.

L'air frais de la pièce glissa sur ma poitrine libérée du frottement de la soie. Elle me regarda, sourit, tourna les talons et s'éloigna Les caresses buccales de Fabien me plaisaient beaucoup. Pour mieux accueillir sa langue qui survolait mon sexe, je me cambrai au maximum tirant de ce fait sur mes liens de soie. Fabien ne s'en aperçut pas, occupé qu'il était à déguster mon corps et à laper le jus de plaisir qui s'échappait de moi. Véronique revint dans la pièce. Elle portait deux objets dans ses mains. Je la regardais incrédule. Dans sa main droite, elle tenait un énorme gode de métal brillant.

L'engin de forte dimension et de diamètre non moins conséquent se terminait par une plaque de laquelle partait deux lanières de cuir. Dans l'autre main, elle tenait ce qui ressemblait à une plume blanche d'autruche. Elle me montra alternativement les deux objets :

-" Le plaisir et le plaisir. Un même but par deux chemins différents "

Fabien interrompit son cunnilingus et se redressa. Pas une fois il ne m'avait pénétré de sa langue, se contentant de visiter les abords de mon sexe. Véronique lui tendit la plume et retourna vers la chaise qu'elle occupait précédemment près de ma tête. Fabien retira mes jambes du haut du dossier et les laissa pendre le long de la table. Mes fesses en équilibre au bord, je ne tenais plus que par les foulards rouges qui me liaient aux pieds de la table, à l'autre extrémité. La tension sur ces liens me cisaillait les poignets. J'essayais de me redresser mais n'y parvint pas. Fabien était debout et tournait autour de la table. Il laissait par moment la plume caresser mon corps. Chaque contact de ma peau avec la plume me provoquait des ondes de plaisirs. Je gémissais doucement à chaque fois. Véronique me présenta le gode de métal devant les lèvres.

Trop gros pour que je le prenne en bouche, je me contentai de le lécher. Elle appuya sur mes lèvres m'invitant à ouvrir la bouche. Je tentai de le sucer comme je le pouvais. Fabien s'agenouilla ensuite devant le fauteuil précédemment occupé par Véro et fixa le gode à la chaise. En serrant le siège des lanières, il laissa le gode fièrement dressé à la verticale. Il revint vers moi. Il m'approcha la tête de son sexe. Encore mou, il n'était plus aussi pantelant que lors de son entrée dans le salon. Je commençai à lécher son gland bien rouge. Ne pouvant cependant trop bouger du fait des liens, c'était Fabien qui en imprimant un mouvement de va et vient, faisait entrer et sortir son sexe de ma bouche.

Mes yeux se posaient alternativement sur son visage et sur Véronique. Cette dernière, tout en nous regardant, était montée sur les accoudoirs du fauteuil occupé par le pieu de métal. Elle laissa glisser ses jambes de part et d'autre du fauteuil pour finir par positionner son sexe juste au dessus du gode.

Sa langue courrait sur ses lèvres en me regardant aspirer la queue de Fabien. Au fur et à mesure de ma fellation, cette dernière trouvait une consistance enfin digne de ce nom. La sentir grossir et vibrer dans ma bouche me plaisait beaucoup. La vision de Véronique prête à s'empaler sur cet énorme pieu aussi. Je sentais mon bas ventre trempé de désir et d'envie. Lentement, elle descendit sur le mât d'aluminium. Le bout oblong toucha ses lèvres et commença à disparaître en elle. Elle procédait doucement et méticuleusement, un peu effrayée sans doute par les dimensions de l'objet.

Le sexe de Fabien me remplissait à présent la bouche et chaque poussée de sa part envoyait son membre taper le fond de ma gorge. Je le suçais avidement, levant les yeux pour regarder son visage et apercevoir le résultat de mon travail. Véronique, en arrière plan commençait à véritablement s'empaler sur l'énorme objet de métal brillant. Je voyais son visage un peu crispé par l'effort de dilatation que demandait l'intromission du gode. Ses yeux plissés témoignaient de l'intensité de l'action. Contrainte de freiner la descente sur le pieu du fait de son diamètre, elle était obligée de maîtriser les muscles de ses jambes que je devinais pourtant déjà très tendues. Elle avait avalé le tiers du gode.

Ses jambes et ses bras tremblaient tandis qu'elle se mordillait les lèvres et poussait des petits cris où souffrance et plaisir se mélangeaient. Fabien utilisait à présent ma bouche comme un sexe. Il laissait ressortir sa queue jusqu'à laisser son gland sur mes lèvres, puis il replongeait doucement entre mes dents en allant le plus loin possible. J'étais très excitée par cette fellation et la vue de Véronique. Jugeant son sexe suffisamment rigide, il retira son membre de ma bouche. Il fit le tour de la table et resta debout entre mes jambes. Il regarda véronique en caressant mes jambes. Véronique était au bord de l'orgasme. Elle chavirait de douleur et de plaisir. Couverte de sueur, elle s'était transformée en une fontaine de jouissance. La base du gode était luisante et le tissu de la chaise trempé.

Fabien me souleva les jambes qu'il posa sur ses épaules. Il approcha son gland de mon sexe, tourna autour, flatta mes lèvres et s'enfila lentement en moi. J'attendais ce moment depuis si longtemps ! Je me cambrai pour mieux le recevoir, tirant sur mes liens de soie à m'en faire mal au poignet. Mon vagin trempé d'envie n'opposa aucune résistance à sa poussée. Je sentis bientôt ses couilles marteler mon aine. Il commença à me besogner sans retenue. Il sortait et entrait son membre à allure régulière. Il se penchait sur moi, appuyé sur mes cuisses pour embrasser mes seins, lécher mes tétons. Il les mordilla légèrement m'arrachant un gémissement. Il tourna la tête et regarda Véronique. Sa vue l'excita davantage, sa poussée se fît plus rude dans mon ventre.

Véronique était emmanchée au maximum. Elle ne pouvait descendre plus bas coincée qu'elle était par ses jambes sur les accoudoirs et la dimension du pieu en elle. Son corps ondulait lentement de gauche à droite comme pour tenter de gagner quelques millimètres hypothétiques. Las, peine perdue, elle s'arque bouta sur ses cuisses et s'aidant de ses bras tremblants, elle réussit à s'élever de quelques centimètres. On l'entendait ahaner sous l'effort. Fourbue de plaisir, comblée par le gode qui lui arrachait les entrailles, elle se laissa à nouveau tomber, ce qui lui provoqua un nouvel empalement non contrôlé. Jetant la tête en arrière, elle poussa un cri qui se transforma en râle et s'affala contre le dossier du fauteuil incapable de bouger.

Fabien sortit son sexe de mon vagin. Il m'attrapa par les hanches et m'aida à remonter quelque peu sur la table. Il me retourna et me mit en appui sur les genoux. Il grimpa sur la table derrière moi. Je l'entendais qui se masturbait. Il approcha son gland de mon anus et doucement insista pour me pénétrer. J'écartai les cuisses le plus possible et me cambrai pour le recevoir. La douleur se fit plus présente au passage de son gland. Il poussa régulièrement sur sa queue finissant par me sodomiser totalement. Je sentais ses couilles battrent contre mes fesses. Il se coucha sur mon dos, empoigna mes seins sans ménagement et m'attira vers lui renf o r ç a nt ainsi l'effet de pénétration anale.

Je sentais son membre me labourer le ventre. En appui sur les bras, je subissais ses coups de boutoir. Il lâcha mes seins pour empoigner mes cheveux . M'agrippant la tête, il m'obligea à me redresser et à reculer sur sa hampe de chair tendue. Je couinais de plaisir, le corps parcourus de spasmes. Véronique bascula en avant, seule façon pour elle de se libérer du monstre de métal qui lui mangeait le bas ventre. Elle se rattrapa sur une jambe puis sur l'autre. Tout doucement, elle se désemmancha du gode qui ressortait petit à petit, ruisselant de mouille. Lorsqu'elle l'eût extrait, elle tomba à genoux et resta un moment prostrée à regarder Fabien me prendre comme une chienne sur la table du salon. Le regard vide, elle contemplait le sexe de Fabien qui sortait et rentrait de mes fesses tandis que d'une main il ramenait à lui mon corps qu'il avait autorisé quelques secondes plus tôt à s'éloigner. Elle se redressa et vint jusqu'à moi. Elle m'embrassa passionnément.

Laissant mes lèvres, elle détacha les foulards des pieds de la table et se glissa entre le plateau et moi, de manière à amener sa tête sous mon sexe. Son entre jambe sous mes yeux, j'eu envie de la pénétrer de ma langue. Comme je m'inclinai pour approcher mes lèvres de son sexe, Fabien me reteint par les cheveux et m'en empêcha. D'où elle se trouvait, Véronique pouvait admirer la queue de Fabien aller et venir entre mes fesses. Elle caressa mon sexe. Son corps était couvert de sueur. Elle dégageait un parfum enivrant qui m'invita à m'empaler plus fort sur le membre de chair qui me parcourait. J'entendis Véronique.-" Et maintenant à toi ma belle. " Je compris de suite. Je sentis le bout froid du gode de métal toucher mes lèvres. -" Oh non, je ne pourrais… " Je ne pus terminer ma phrase, Véronique commençait à m'introduire le pieu dans mon vagin, faisant ainsi fi de mes prières.

Je savais ne pouvoir le recevoir complètement, d'autant plus que le sexe de Fabien occupait déjà une belle place dans mon corps. Véronique n'en avait cure. Elle continuait d'enfoncer le gode, m'obligeant à écarter les cuisses comme jamais. J'avais le souffle coupé par la présence simultanée de ce monstre froid et de cette queue vibrante qui remplissait mon anus. Fabien me tirait les cheveux plus fermement maintenant , m'obligeant chaque fois à m'empaler jusqu'à la garde sur son sexe. Le gode se frayait un chemin en moi poussé sans répit mais avec science par Véronique. Je me sentais pleine, brûlante, au bord de la folie. Je n'entendais plus les encouragements de Fabien. Seul le s a n g qui tapait dans ma tête, la douleur de la sodomie et du gode qui pulvérisait mon intimité étaient présents. Je sentis l'ultime impulsion que donnait Véronique, témoignant ainsi de ce que le gode m'occupait quasi totalement.

Un éclair d'orgasme me transperça le corps, m'arracha un hurlement qui fit lâcher prise à Fabien. Je me redressai, libérant le jus de mon plaisir sur le visage de Véronique. La langue sortie, elle tentait de boire ce breuvage intime témoin de mon plaisir. Vidée de sensations, je m'écroulais sur elle sans retenue. Fabien continua à me pistonner quelques instants puis il sortît sa queue de mes fesses. Véronique attrapa son membre, le branla un peu avant de voir sa semence se répandre simultanément sur mon dos et son visage à flots drus. Il tomba à genoux lui aussi repu, vidé de sa substance. Et moi qui n'était venue que pour faire connaissance de l'ami de Véronique…

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